Code élégant : code correct, simple, efficace et lisible.
Conception d'algorithmes : créer une liste d'instructions à suivre pour automatiser la solution d'un problème.
Dynamique : un tableau dynamique peut changer de taille (nombre d'éléments) pendant que le programme est en mode exécution.
Interface de programme d'application : contient un ensemble d'outils qui servent à la conception de programmes. Une interface de programme d'application permet à des programmes de communiquer entre eux.
Itération : mentionnée souvent en même temps que les boucles, la répétition d'un processus.
Pas-à-pas : lorsqu'on débogue un programme, on peut aller «pas-à-pas» d'un point d'arrêt à l'autre pour voir les valeurs de variables pendant que le programme est en mode exécution.
Points d'arrêt : l'exécution d'un programme peut être interrompue à une instruction spécifique à l'aide d'un point d'arrêt. On utilise les points d'arrêt pour déboguer des programmes.
Point d'observation : sert à afficher les valeurs de variables pendant que le programme est en mode débogage en utilisant des points d'arrêt.
Programmation orientée objet : paradigme de programmation basé sur le concept «d'objets», qui peuvent contenir des données, sous forme de champs, qu'on appelle souvent «attributs», et de code, sous forme de procédures, qu'on appelle souvent «méthodes».
Pseudocode : combinaison de langage naturel (français) et de code de programmation. On s'en sert pour représenter un algorithme dans un problème informatique. En général, on écrit un algorithme représenté en pseudocode, puis on écrit un programme pour représenter l'algorithme dans un langage de programmation.
Récursivité : lorsqu'une fonction s'appelle elle-même.
Réusinage : cette technique utilise quelques méthodes propres à l'optimisation de code, avec des objectifs différents. Le terme réusinage est originaire du Québec. L'équivalent en anglais est code refactoring, parfois rendu par refactorisation, terme qui, selon l'OQLF, est à éviter [Wikipédia]